Les amateurs de champignons et les cueilleurs peuvent être familiers avec les champignons à calotte laitière, une sorte de champignons appelés pour leurs corps fructifères qui génèrent une drogue „laiteuse” ou semblable au latex, en particulier lorsqu’ils sont coupés ou souvent endommagés. De nombreuses variétés sont comestibles et sont en fait préférées des collectionneurs du monde entier – le site.
Ces champignons sont en fait généralement identifiés par leur capacité à produire un latex laiteux, qui peut être blanc, orange crème, cramoisi et même bleu vif. Leurs branchies peuvent également facilement „ecchymoses” et passer d’une couleur bleue ou même respectueuse de l’environnement lorsque des substances chimiques sont réellement exposées à l’air.
Ce trait n’est cependant pas propre aux champignons à tête de lait et ne doit certainement pas être utilisé comme une approche de reconnaissance ultime. Les champignons comestibles, nocifs et psychédéliques peuvent être furtivement identiques dans leurs qualités physiques.
Les champignons „calottes” peuvent appartenir à des espèces appartenant à l’une des trois catégories principales, y compris les Lactarius, certaines de nos principales équipes d’étude. Comme la plupart des genres de champignons, Lactarius contient des variétés comestibles et non comestibles. Notre équipe explore en fait des détails beaucoup plus petits, ceci dit : la gamme héréditaire.
Dans les collines rocheuses du sud, il existe en fait environ 30 à 60 variétés de champignons dans la catégorie Lactarius. De nombreuses études ont en fait pris en compte les variétés de Lactarius du Colorado, mais n’ont pas fourni un aperçu complet de tous les types et de la variété héréditaire totale de Lactarius dans les collines rocheuses du sud. La préoccupation de l’enquête répertoriée ici est la suivante : quelle est la gamme de vérité étape par étape du genre Lactarius dans le Colorado ainsi que la chaîne de montagnes du Sud ? (La systématique concerne la classification, les connexions et également l’identification des micro-organismes, voire la nomenclature.).
En tant que symbiotes obligatoires, les types Lactarius comptent sur diverses espèces de plantes en grappes pour survivre, et vice versa. Originaires des forêts et des arbustes du monde entier, ils collaborent très étroitement avec les plantes et dépendent également de celles-ci.
Ce type de relation symbiotique est en fait appelé coopération ectomycorhizienne. Les champignons se concentreront certainement principalement autour des racines de ces plantes en touffe, où ils fournissent de l’eau ainsi que des minéraux à la végétation, et acquièrent également des glucides en gain. Les champignons ne pénètrent certainement pas dans les tissus végétaux, mais forment plutôt un amas de cellules qui se développe autour et avec les origines de la végétation.
Certaines variétés peuvent présenter une plus grande spécificité et concentration sur quelques types de lots seulement, tandis que d’autres sont généralistes et peuvent collaborer avec de nombreux lots dans leur région. Dans les deux scénarios, la pertinence écologique de Lactarius est en fait notable, car la santé de la zone végétale dépend de ces formes de champignons.
Les relations distinctes entre les champignons et les multitudes de végétation sont très importantes à analyser, non seulement pour savoir comment fonctionnent les écosystèmes, mais aussi pour la préservation et la rénovation. Comprendre le type et les caractéristiques des champignons ectomycorhiziens dans l’environnement éduquera certainement sur les méthodes d’utilisation ainsi que sur les politiques en matière d’agriculture, de préservation et de restauration respectueuse de l’environnement.
Ces champignons périodiques des forêts transitoires et mixtes poussent parfois en anneaux, mais se développent régulièrement en échantillonnages singuliers ou même en groupes assez restreints.
Il mérite de venir identifier ce milkcap grâce à ses ouïes bien remplies, sa longue tige et aussi son chapeau sans écailles : un test gustatif est une expérience des plus désagréables !
Circulation.
Situé simplement périodiquement dans une grande partie de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, mais dans quelques endroits typiques de la région, le Peppery Milkcap se déroule sur l’Europe continentale et en partie sur l’Amérique du Nord. En Australie, ce milkcap est en fait une variété présentée.
Histoire taxonomique. Le Peppery Milkcap a été décrit en 1773 par Carl Linnaeus, qui a créé son propre basionyme lorsqu’il lui a donné le nom scientifique binomial Agaricus piperatus. C’est en fait Christiaan Hendrik Persoon qui, en 1797, a transféré ce type dans la catégorie Lactarius, créant ainsi son propre nom scientifique actuellement accepté Lactarius piperatus. Les mots de Lactarius piperatus incluent Lactarius pergamenus, Agaricus piperatus L., ainsi que Agaricus lactifluus var. piperatus (L.) Pers.
Dérivation. Le nom général Lactarius signifie faire du lait (lactation) – une recommandation au latex laiteux qui est en fait projeté des branchies des champignons milkcap lorsqu’ils sont réduits ou même déchirés. L’épithète de détails piperatus est en fait un adjectif classique signifiant poivré.
Alors que la liste de contrôle de la communauté mycologique anglaise des titres anglais de champignons répertorie Lactarius piperatus sous le nom de Peppery Milkcap, au cours de la dernière, il a été appelé Peppery Milk-cap. Aux États-Unis, son propre label typique est en fait Peppery Dairy Cap.